le chant des villes le chant des villes - Anthologie de poésie

Le Printemps des Poètes est l'occasion pour les aèdes de tous genres et de tous horizons d'exprimer leur foi dans la poésie, souffle de vie, expansion d'amour et genèse de l'espoir via le verbe libérateur.
Pour la 8ème édition de cette manifestation nationale, Le Manoir des Poètes entend honorer les muses par l'édition d'une anthologie reprenant la thématique du moment : « Le chant des villes » qu'un certain nombre de poètes de France et d'ailleurs, reconnus pour la plupart, ont répercuté dans la diversité de leurs champs d'expression et de leurs visions personnelles.
La vie n'étant pas un long fleuve tranquille, l'expression poétique se veut tantôt appréhension du réel, tantôt exutoire des âmes saturées...
Villes en liesse, villes en émoi, villes captives, villes enclavées, villes en éclats, villes en flammes, elles chantent toutes à leur manière.
Et les poètes de capter les échos de leurs chants.

Maggy DE COSTER, Directrice et Rédactrice en chef du Manoir des Poètes

La presse en parle ...

"Lieux de perpétuelles métamorphoses, lieux de fêtes et de révoltes, lieux de passage autant que d'enracinement, sites privilégiés de l'inconnu, du vertige, du côtoiement des contraires, les villes ont toujours été une des matières premières de l'imaginaire poétique."

Jean-Pierre Siméon, directeur artistique du Printemps des Poètes
l'union
Le quotidien de la région de Reims
du 24 juillet 2006
l'yonne républicaine
du 4 novembre 2006
L'indépendant de l'Yonne
du 10 octobre 2006
lusojornal
N° 83 du 13 juillet 2006
Le Site Haiti Press Network
Haiti Press Network

du 22 Octobre 2006
le quotidien l'union du 24 juillet 2006

Eduardo Galhós publie son premier poème
Eduardo Galhós vient de publier en juin, pour la première fois, un de ses poèmes « L'Homme Assis », dans un recueil de poésie « Le chant des Villes » anthologie du Manoir des Poètes sous la direction de Maggy de Coster. Eduardo Galhós
« Je présente ici un morceau d'un de mes derniers poèmes qui fait 32 pages, pratiquement tous mes poèmes font plusieurs pages. Une amie à moi, Isabelle Normand m'a demandé et a surtout insisté pour que je publie ce poème qu'elle aimait tant.
Au début cela ne me disait rien, car je ne pensais pas que cela pouvait intéresser quelqu'un », dit l'auteur avec beaucoup de simplicité.
Eduardo Galhós, nous parle de son amour pour l'écriture, qui depuis son plus jeune âge rempli beaucoup d'heures de sa vie.
« J'avais dix ans quand je me trouvais dans un cours de dessin, et au lieu de me concentrer sur le dessin que je faisais, j'écrivais en même temps sur une feuille, puis je la cachais pour que personne ne remarque rien. Le professeur a fini par s'en rendre compte et après avoir lu ce que je venais d'écrire, il ma félicité et m'apprends alors que je faisais de la poésie. Jusqu'à présent je n'écrivais que pour moi, et depuis ce livre, je sens que je vais avoir de la demande et j'avoue que cela m'embête un peu car la liberté n'est plus la même et en plus il y a des délais à respecter », dit-il en souriant.
.................
lire la suite de cet article de Clara Teixeira paru dans le LusoJournal N° 83 du 13 Juillet 2006 en le téléchargeant depuis le site du LusoJornal www.lusojornal.com [1,5Mo] au format PDF (Acrobat Reader) (16 pages A4)
Ce document téléchargeable est au format pdf (Acrobat Reader),
si vous ne possédez pas ce logiciel, vous pouvez le télécharger chez Adobe gratuitement ici :
www.adobe.fr/products/acrobat/readstep.html
téléchargement du lecteur gratuit PDF
cliquez sur ce logo pour atteindre la page d'origine sur Internet


ART ET SPECTACLE
"Le Chant des villes", une Anthologie sous la direction de Maggy de Coster
Maggy de Coster, écrivaine et critique littéraire, vient de publier aux Éditions Dianoïa l'ouvrage « Le chant des villes », diffusé par PUF. Elle s'explique.

Dominique Batraville : Maggy de Coster, vous venez de publier une anthologie urbaine, intitulée « Le Chant des villes ». Qu'est-ce qui vous a motivé à réunir ces textes sur les villes : la menace qui pèse sur les mégalopoles actuelles ou une nostalgie des villes antiques : Thirtsa ou Babel ?
Maggy de Coster : Reprenant à mon compte la thématique du « Printemps des Poètes 2006 », événement national en France, j'ai lancé cette anthologie, d'ailleurs unique en la matière. Une centaine de poètes a été contactée mais une bonne cinquantaine d'entre eux a répondu à mon appel. Il s'agit pour la plupart de bons poètes, connus et reconnus et ayant à leur actif plusieurs publications.
C'est un défi que je me suis lancé en donnant aux poètes de différentes parties du monde de s'exprimer sur un sujet sensible. Qu'on se rappelle l'embrasement des villes de banlieue parisienne et d'autres villes de France suite aux agressions verbales du Ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy à l'endroit des jeunes banlieusards issus de l'immigration. Bien évidemment le passé est le prolongement du présent mais je ne peux pas éprouver de la nostalgie du passé dans la mesure où je n'ai pas eu l'heur de vivre ce temps révolu, dépositaire des savoirs de l'humanité. Néanmoins il peut nous bien servir de repère sans qu'on en soit esclave sinon on est condamné à faire du sur place. Et quelque fascinante que puisse être l'Antiquité il n'en demeure pas moins que le présent ne peut pas en être la réédition car le monde est en perpétuelle mutation.

D.B: Jean-Jacques Rousseau et tant d'autres ont indexé les villes comme symptômes de décadence des civilisations, où florissaient bien les Arts et les Sciences. Êtes-vous du même avis ?
M.D: Je pense que l'homme porte en lui-même le germe de son autodestruction. La réalité est telle que nous devons comprendre qu'il faut au moins bouger le petit doigt face aux dangers qui nous guettent tous. Selon Rousseau in Le Contrat Social « L'homme est né bon, c'est la société qui le corrompt ». Il préconise le retour à l'état du bon sauvage, mais moi je pense que l'homme est avant tout un être sociable, « ondoyant et divers » pour répéter Montaigne. Donc, il ne peut se réaliser qu'en collectivité. Les villes sont, en effet, une immense source d'inspiration parce qu'elles recèlent en elles nos illusions perdues.
Elles font miroiter les espoirs comme elles se révèlent un passage obligé pour les grands décideurs de l'Humanité (en marche ou en décadence) les hommes et les femmes politiques. Elles sont loin d'être des havres de paix car c'est de là que partent les émeutes et les conflits sociaux. Elles sont à la fois cibles et repaires des terroristes, des brigands et des contrebandiers. En un mot, elles sont les cimetières des valeurs et traditions. Mais de façon moins prosaïques elles peuvent enchanter, ensorceler. La Tour Eiffel, Venise, par exemple, ne continuent pas moins d'enchanter les uns et les autres. « Le bonheur est l'oiseau bleu dont nul n'a trouvé la place ici-bas » dit l'autre mais rien ne nous empêche de rêver... « C'est un bonheur déjà de rêver au bonheur » nous enseigne Ignace Nau.

D.B : Le grand soir des villes sera apocalyptique si l'on en croit St Jean de Pathmos. Selon vous, la Jérusalem, dérusalem , décrite dans la Bible est-elle vraiment poétisable ?
M.D : La poésie est un chant de l'âme. Ce chant peut être lugubre ou joyeux. Comme l'a constaté Héraclite, « l'homme ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve ». Pour ainsi dire, le regard que l'on porte sur un lieu varie avec le temps et à fortiori la poésie qui se dégage de ce lieu varie également. On peut considérer que le temps avec son cortège de malheurs libère aussi une forme de poésie et c'est avec raison que Kant nous dicte que « Le temps est la forme suprême de notre impuissance. »
Puisque le soleil se lève tous les jours et partout ailleurs donc le soleil de Jérusalem peut-être une source de poésie. Qui empêchera le poète de s'extasier devant un coucher de soleil à Jérusalem ? Le soleil est sans conteste le seul « élément » de l'univers sur lequel l'homme n'aura jamais de prise. L'homme a posé les pieds sur la lune mais il ne pensera jamais à s'aventurer dans les parages de l'astre du jour.

Propos recueillis par Dominique Batraville



L'YONNE REPUBLICAINE
édition du 4 Novembre 2006
Annie Quatresol s'est inspirée de la ville de Joigny pour écrire un poème, publié dans un recueil.
« Tes murs vénérables m'ont conquise en douceur. J'ai pris goût aux arts, lettres sous l'égide de savants professeurs, tels Georges Fischer, Jean Racine. Joigny, le coeur de mes racines ».
Ainsi se termine le poème écrit par Annie Quatresol, une habitante de la commune. Elle vient de participer a une œuvre collective, un recueil de poèmes célébrant des villes : Le Chant des Villes.
L'artiste, sociétaire à la Société des Poètes Français, a choisi deux villes, La Rochelle et Joigny, comme sources d'inspiration. Diffusé par les Presses Universitaires de France, réalisé à l'initiative de Maggy De Coster, membre du comité directeur de la Société des Poètes Français, l'ouvrage est préfacé par Michel Bénard, lauréat de L'Académie Française.
F.T.


L'INDEPENDANT DE L'YONNE
édition du 10 Octobre 2006
Annie Quatresol met à l'honneur la ville de JOIGNY.
Annie Quatresol a écrit un poème dans le Chant des villes : « Joigny, le cœur des mes racines »
Les Presses Universitaires de France viennent de diffuser un livre où cinquante poètes se donnent le mot pour chanter les villes d'ici et d'ailleurs. Le chant des villes est un recueil de poésies des Editions Dianoïa, Un "chœur" de cinquante poètes interprète cette originale et séduisante ballade citadine, chacun avec sa propre musique des mots...
Joigny Une cité n'est-elle pas un état d'âme qui se communique, se propage à nous en un fluide qui s'inocule et qu'on incorpore avec la nuance de l'air ? Cette pensée a inspiré Maggy De Coster, membre du comité directeur de la Société de Poètes Français, à qui revient l'initiative de cette œuvre poétique.
Maggy est rédactrice en chef de la revue "Le manoir des poètes" et elle a déjà reçu de flatteuses distinctions pour divers autres ouvrages. Elle résume ainsi son choix du thème villes en liesse, villes en émoi, villes captives, villes enclavées, villes en éclats, villes en flammes, elles chantent toutes à leur manière.
Et les poètes de capter les échos de leurs chants. Ainsi, en collaboration avec les Editions Dianoïa et les Presses Universitaires de France, il ne restait plus qu'à sélectionner les talentueux "capteurs d'échos".
Cette anthologie a déjà reçu ses lettres de noblesse de la part de Michel Bénard, lauréat de l'Académie française, qui a illuminé ce livre d'une préface brillamment circonstanciée « La ville est parfois lumière et ténèbres; parfum et poison, illusion et réalité implacable ». C'est pourquoi tout imprégnés par cette dualité, les poètes depuis les origines par leur inspiration encensent ou fustigent la cité. Parmi ces "virtuoses de la poésie", Vital Heurtebize, président de la Société des Poètes Français, exerce sa plume alerte et réaliste.
Le département de l'Yonne est chaleureusement représenté par une poétesse jovinienne Annie Quatresol Dieufrance, de la Société des Poètes Français, laquelle chante les louages de deux villes historiques avec des titres suggestifs : La Rochelle, ville de merveilles et Joigny, le coeur de mes racines. Petite Venise de l'Yonne, aux eaux dociles, J'adore admirer tous tes sites passionnants, Tes rues pavées, tes bâtisses de style, Ton pont sur arcs de pierre impressionnants Tes trois églises me fascinent, Joigny, le coeur de mes racines. (..) Gamine tantôt rêveuse, tantôt rieuse, Tes murs vénérables m'ont conquise: en douceur. J'ai pris goût aux arts, lettres, curieuse, Sous l'égide de savants professeurs, Tels Georges Fischer, Jean Racine, Joigny, le coeur de mes racines... "Douce poésie, le plus beau des arts" a-t-on déjà exprimé ! Le Chant des villes en est la rayonnante illustration.
Marcel CHAINEY
Pour obtenir cet ouvrage : liste des diffuseurs :
Le Chant des Villes, format 13x21, prix public: 18€,
Editions Dianoïa, Diffusion: Les Presses Universitaires de France

La couverture de l'anthologie de poésie